sobre torrões de terra ressequida nabos arrancados que brancos brilham e a sombra do pinheiro sob os meus pés cascalho rangendo perto da ponte que vibra quando uma rajada atravessa a noite
“One cannot think well, love well or sleep well
if one has not dined well,” V. Woolf
Virginia
Woolf's Angels 1919
"…whenever I felt the shadow of her wing or the radiance of her halo
upon my page, I took up the inkpot and flung it at her. She died hard."
Five years
after their rescue
Of troops beaten back in Mons,
She danced with them on the downs,
Their forms like kites she reeled in
With clouds, their haloes askew
On waves of green escarpments
Breaking into the sea. Beech-brown
The combes she looked down upon
While the angels held up her skirts,
Rode the rhythms of her walking feet –
Their wings no longer torn.
In a host they balanced, on the alert
For ancient armies in retreat
Squatting in hunched hawthorns.
One year
after the armistice
In the steep slopes of her temperament
She kept them at her side, to banish
The simpering angels of the house
At whom, with the sedge, they would hiss.
Whenever an alien shadow bent
Over her page as she wrote, a swish
Of wings dipped in ink would douse
Its creeping insistence, despatch it
Into tumuli turfed over, into dew ponds.
The angels of Mons were her guides
Through plankton, fossils, flint; could fit
Into her psyche's darkest corners beyond
Precipices chalked in over sucking tides.
Virginia Woolf (re Coventry Patmore's The Angel in the House (Professions for Women, 1931)).
Avez-vous vu un homme à poil
Sortir soudain d'la salle de bains
Dégoulinant par tous les poils
Et la moustache pleine de chagrin ?
Avez-vous vu un homme bien laid
En train d'manger des spaghetti
Fourchette au poing, l'air abruti
D'la sauce tomate sur son gilet
Quand ils sont beaux, ils sont idiots
Quand ils sont vieux, ils sont affreux
Quand ils sont grands, ils sont feignants
Quand ils sont p'tits, ils sont méchants
Avez-vous vu un homme trop gros
Extraire ses jambes de son dodo
S'masser l'ventre et s'gratter les tifs
En r'gardant ses pieds l'air pensif ?
Refrain 1
Ne vous mariez pas, les filles, ne vous mariez pas
Faites plutôt du cinéma
Restez pucell' chez vot' papa
Dev'nez serveuse chez un bougnat
El'vez des singes, él'vez des chats
Levez la patte à l'Opéra
Vendez des boît' de chocolat
Prenez le voile ou l'prenez pas
Dansez à poil pour les gagas
Soyez radeuse av'nue du Bois
Mais ne vous mariez pas, les filles
Ne vous mariez pas
Couplet 2
Avez-vous vu un homme gêné
Rentrer top tard pour le dîner
Du rouge à lèvres sur son col
Du flageolant dans la guibole
Avez-vous vu au cabaret
Un monsieur qui n'est plus très frais
Se frotter avec insistance
Sur un' petite fleur d'innocence
Quand ils sont bêtes, ils vous embêtent
Quand ils sont forts, ils font du sport
Quand ils sont riches, ils gard'nt l'artiche
Quand ils sont durs, ils vous torturent
Avez-vous vu à votre bras
Un maigrichon aux yeux de rat
Friser ses trois poils de moustache
Et se redresser, l'air bravache
Refrain 2
Ne vous mariez pas, les filles, ne vous mariez pas