Ce soir: Feux, de
Marguerite Yourcenar
«Solitude…Je ne crois pas comme ils croient, je ne vis pas
comme ils vivent, je n’aime pas comme ils aiment…Je mourrai comme ils meurent.»
«Il n’y a
pas d’amours stériles. Toutes les precautions n’y font rien. Quand je te
quitte j’ai au fonds de moi ma douleur, comme une espèce d’horrible enfant.»
« Je ne tomberai pas. J’ai atteint le centre. J’écoute le
battement d’on ne sait quelle divine horloge à travers la mince cloison
charnelle de la vie pleine de sang, de tressaillements et de souffles. Je suis
près du noyau mystérieux des choses comme la nuit on est quelquefois près d’un
coeur.»
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