quarta-feira, 18 de dezembro de 2013

«Feux»


Ce soir: Feux, de Marguerite Yourcenar

«Solitude…Je ne crois pas comme ils croient, je ne vis pas comme ils vivent, je n’aime pas comme ils aiment…Je mourrai comme ils meurent.»

«Il n’y a pas d’amours stériles. Toutes les precautions n’y font rien. Quand je te quitte j’ai au fonds de moi ma douleur, comme une espèce d’horrible enfant.»


« Je ne tomberai pas. J’ai atteint le centre. J’écoute le battement d’on ne sait quelle divine horloge à travers la mince cloison charnelle de la vie pleine de sang, de tressaillements et de souffles. Je suis près du noyau mystérieux des choses comme la nuit on est quelquefois près d’un coeur.»

Sem comentários: